La firme Forest Lavoie Conseil pour le compte d’AGRIcarrières et de l’Union des producteurs agricoles (UPA) a mené une Étude sur l'impact d'une hausse du salaire mnimum. En effet, l’agriculture québécoise vivrait difficilement une hausse importante et rapide du salaire minimum, plus particulièrement dans le secteur horticole, celui-ci étant confronté à l’importation de fruits et de légumes provenant de pays où le salaire minimum est beaucoup moins élevé.